Entre les taux très bas, les durées d’emprunts rallongées et les prix de l’immobilier qui baissent, la conjoncture immobilière en 2015 a été particulièrement favorable aux emprunteurs. Mais au vu des résultats et du nombre de projets mis en œuvre au terme de ce premier trimestre, notamment dans le neuf, il est aujourd’hui évident que l’année 2016 compte mettre la barre plus haute encore.
Que de voyants verts pour les futurs investisseurs
Taux de crédit au plus bas, prix stables des biens immobiliers, vendeurs à l’écoute… aujourd’hui, toutes les conditions sont réunies pour permettre aux éventuels emprunteurs de faire leurs premières acquisitions. Rien que pour le premier trimestre de cette année, le nombre de transactions dans le secteur de l’immobilier ancien a déjà connu une hausse de 2,5 % par rapport à l’année précédente. Du côté des primo accédants, les taux bas affichés ont permis d’augmenter considérablement la part de marché des jeunes acheteurs, qui affiche actuellement un taux de 37 %. Les jeunes acheteurs n’hésitent plus à investir, et ceci, dans des biens relativement grands.
Pour comparer et trouver dans les meilleurs délais les offres de crédits avec des taux très bas, il est conseillé de demander l’aide d’un courtier crédit immobilier comme sur ce site par exemple. De la recherche de l’offre adaptée à la négociation des taux et de toutes les modalités du contrat, le courtier peut intervenir à différents niveaux de la demande de prêt. Dans le secteur de l’immobilier neuf, le nombre de nouveaux logements en construction est aussi en hausse. 351 200 logements ont été mis en chantier à la fin du mois de février 2016 selon le ministère du Logement, dans les statistiques publiées le 25 mars dernier. Et au vu du nombre de permis de construire délivrés à la même période, soit 398 200 permis, l’embellie devrait certainement durer.
Un marché immobilier favorisé par les incitations gouvernementales
Si le marché de l’immobilier se montre actuellement très dynamique, c’est également grâce aux différents dispositifs gouvernementaux, mis en place pour justement permettre aux foyers français d’acquérir plus facilement des biens immobiliers. Le choix du dispositif à souscrire dépend non seulement du profil investisseur, mais également du fait que le bien doive servir de résidence principale ou de bien locatif. En terme d’investissement immobilier neuf par exemple, les emprunteurs ont le choix entre différents dispositifs de défiscalisation : dispositif Scellier, Borloo, Besson ou encore Pinel.
Dans le secteur des biens immobiliers anciens, les emprunteurs peuvent aussi choisir entre différents dispositifs : dispositif Malraux, loi Robien recentrée ou autres. Les modalités et les conditions d’éligibilités diffèrent par ailleurs d’un dispositif de défiscalisation à un autre. Pour optimiser son emprunt, le choix du dispositif doit donc se faire avec soin et il est aussi recommandé de demander dans ce cas l’aide d’un courtier professionnel pour trouver selon la situation, le meilleur type d’investissement.